Prières à l’Ange Gardien

Bon Ange de ma mère   Vous savez combien elle m’a aimé(e). Vous l’avez vue me couvrir de caresses, me prodiguer les soins les plus touchants, souffrir quand je souffrais… […]

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Les 15 Oraisons de Sainte Brigitte

ORAISON 1

Pater, Ave

 

O Jésus-Christ ! douceur éternelle à ceux qui vous aiment, joie qui surpasse toute joie et tout désir, espoir et salut des pécheurs, qui avez témoigné n’avoir de plus grand contentement que d’être parmi les hommes jusqu’à prendre la nature humaine en la plénitude des temps pour l’amour d’eux, souvenez-vous des souffrances que vous avez endurées dès l’instant de votre conception et surtout dans le temps de votre sainte Passion, ainsi qu’il avait été décrété et ordonné de toute éternité dans la pensée divine. Souvenez-vous, Seigneur, que faisant la Cène avec vos disciples, après leur avoir lavé les pieds, vous leur avez donné votre Corps sacré et votre Précieux Sang, et, tout en les consolant avec douceur, vous leur avez prédit votre prochaine Passion. Souvenez-vous de la tristesse et de l’amertume que vous avez éprouvées en votre âme, comme vous l’avez témoigné vous-même, disant: “Mon âme est triste jusqu’à la mort.”
S
ouvenez-vous, Seigneur, des craintes, angoisses et douleurs que vous avez endurées en votre Corps suave avant le supplice de la croix, quand, après avoir prié trois fois en répandant une sueur de sang, vous avez été trahi par Judas, votre disciple, arrêté par la nation que vous aviez choisie et élevée, accusé par de faux témoins, injustement jugé, en la fleur de votre jeunesse et dans le temps solennel de la Pâque. Souvenez-vous que vous avez été dépouillé de vos propres vêtements et revêtu de ceux de la dérision; qu’on vous a voilé les yeux et la face, qu’on vous a donné des soufflets, que vous avez été couronné d’épines, qu’on vous a mis un roseau à la main, et qu’attaché à une colonne vous avez été déchiré de coups et accablé d’affronts et d’outrages. En mémoire de ces peines et douleurs que vous avez endurées avant votre Passion sur la croix, donnez-moi avant la mort une vraie contrition, une sincère et entière confession, une juste pénitence et la rémission de tous mes péchés. Ainsi soit-il.

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Prière avant la Communion de Saint Jean Chrysostome

Seigneur mon Dieu ! Je sais que je ne suis pas digne, ni préparé à ce que vous entriez sous le toit de mon âme, car je suis entièrement vide et en ruine, et vous n’avez pas en moi un lieu convenable où reposer votre tête. Mais de même qu’à cause de nous vous êtes descendu des hauteurs et vous êtes abaissé, descendez à présent jusqu’à ma bassesse.

De même que Vous avez bien voulu être déposé dans une grotte et dans la crèche d’animaux sans raison, entrez dans la crèche de mon âme déraisonnable et de mon corps souillé,

De même que Vous avez bien voulu entrer et manger avec les pécheurs dans la maison de Simon le Lépreux, daignez entrer dans la maison de mon âme, lépreuse et pécheresse.

De même que Vous n’avez pas rejeté celle qui était semblable à moi, la courtisane et la pécheresse, quand elle s’approcha de vous et vous toucha, de même soyez-moi miséricordieux, à moi pécheur qui m’approche et qui vous touche.

 

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Je suis tienne de Sainte Thérèse d’Avila

Je suis tienne, pour toi je suis née,
Que veux-tu faire de moi ?

Majesté souveraine,
Éternelle Sagesse,
Bonté si bonne pour mon âme,
Toi, Dieu, Altesse, Être unique, Bonté,
Vois mon extrême bassesse,
Moi qui te chante aujourd’hui mon amour.
Que veux-tu faire de moi ?

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Histoire de la Consécration de la France

LA FRANCE ET LE SACRÉ-CŒUR

À Louis XIV, Poincaré et Consorts…

 

À la suite de la mort survenue à Loublande, le 29 janvier 1972, de Claire FERCHAUD (Sœur Claire de Jésus Crucifié), la presse a reproduit le texte de la lettre qu’elle adressait le 7 mai 1917 à 14 généraux d’armée.

En 1917, la France, trahie de l’intérieur, était au bord de la défaite et de la révolution (Sans l’intervention providentielle, la France aurait connu en 1917 le sort de la Russie livrée à la Révolution). Dans toutes les églises et chapelles, matin et soir, les catholiques priaient, récitaient le rosaire, imploraient le Sacré-Cœur. Par millions, au front comme à l’arrière, civils et militaires, femmes et enfants portaient sur la poitrine la cocarde tricolore avec l’insigne du Sacré-Cœur selon la demande faite par Notre-Seigneur à sainte Marguerite-Marie le 17 juin 1689 et renouvelée en 1917 à sa jeune messagère Claire Ferchaud.

Celle-ci, le 1er janvier 1917 adressait au Président de la République, Raymond Poincaré, une lettre lui faisant part du message qui, sur l’ordre de Dieu, devait lui être transmis. Des détails intimes, connus seulement du Président accréditaient le caractère divin de l’avertissement.

Ce message peut se résumer en une double demande :

1) La conversion du Président de la République.

2) L’apposition du Sacré-Cœur sur le drapeau national.

Cette lettre fut remise au Président le 16 janvier 1917. En voici le texte :

 

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Neuvaine au Coeur Sacré de Jésus

(Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières)

 

O Jésus, qui avez dit : ” En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira !” voici que je frappe, je cherche et je demande la grâce ……
Pater, Ave, Gloria,
Coeur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

O Jésus, qui avez dit : ” En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l’accordera ! ” voici qu’en votre Nom je demande la grâce ….
Pater, Ave, Gloria,
Coeur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

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