« Un seul regard du bon Dieu suffit pour nous mettre en grâce avec lui, mais ce regard, il faut le mériter par une volonté ferme de tout bien faire ! […]
Ut cognoscant te
« Un seul regard du bon Dieu suffit pour nous mettre en grâce avec lui, mais ce regard, il faut le mériter par une volonté ferme de tout bien faire ! […]
Moi, ton Dieu , je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme, la faiblesse et les infirmités de ton corps. Je sais ta lâcheté, tes péchés, […]
MA VIE N’EST QU’UN INSTANT…
Ma vie n’est qu’un instant, une heure passagère
Ma vie n’est qu’un seul jour qui m’échappe et qui fuit
Tu le sais, O mon Dieu ! pour t’aimer sur la terre Je n’ai rien qu’aujourd’hui !…
Oh ! je t’aime, Jésus ! vers toi mon âme aspire
Pour un jour seulement reste mon doux appui
Viens régner dans mon cœur, donne-moi ton sourire
Rien que pour aujourd’hui !
Que m’importe, Seigneur, si l’avenir est sombre ?
Te prier pour demain, oh non, je ne le puis !…
Conserve mon cœur pur, couvre-moi de ton ombre
Rien que pour aujourd’hui.
Cette lettre d’André Charlier mérite d’être lue deux fois. Une première fois pour son contenu et son opportunité actuelle. Un fois seconde fois en ayant sa date présente à l’esprit : c’est le 22 octobre 1954 qu ‘il l’écrivit, quand il était directeur du Collège de Normandie à Clères.
Chers Amis,
J’ai écrit il y a plusieurs années des Lettres aux Parents, et j’ai cessé de le faire, parce qu’en somme je n’y voyais pas d’utilité. Elles ne persuadaient guère que des gens qui étaient déjà persuadés d’avance. Beaucoup m’écrivaient : « Comme vous avez raison ! », sans aller plus loin que cette approbation toute platonique. Alors j’ai trop peu de temps à moi pour écrire des choses inutiles. Si je vous écris encore une fois aujourd’hui, c’est qu’une nécessité impérieuse m’y pousse. Il faut tout de même qu’un homme auquel vous confiez l’éducation de vos fils vous dise ce qu’il pense de la jeunesse de France qui monte. Votre responsabilité morale est engagée comme la mienne et il faut que vous soyez mis en face de la réalité. Le tableau que j’ai à vous faire est une vue générale dont les éléments ne sont pas empruntés seulement à ce que j’ai constaté dans l’École. De ce que j’ai à vous dire, chacun de vous prendra ce qu’il voudra ou ce qu’il pourra.
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Sainte Marguerite reçut beaucoup de dons mystiques et quelques révélations de la part de Jésus. Voici la liste des douze promesses du Sacré Coeur que le Seigneur révéla à la […]
LA FRANCE ET LE SACRÉ-CŒUR
À Louis XIV, Poincaré et Consorts…
À la suite de la mort survenue à Loublande, le 29 janvier 1972, de Claire FERCHAUD (Sœur Claire de Jésus Crucifié), la presse a reproduit le texte de la lettre qu’elle adressait le 7 mai 1917 à 14 généraux d’armée.
En 1917, la France, trahie de l’intérieur, était au bord de la défaite et de la révolution (Sans l’intervention providentielle, la France aurait connu en 1917 le sort de la Russie livrée à la Révolution). Dans toutes les églises et chapelles, matin et soir, les catholiques priaient, récitaient le rosaire, imploraient le Sacré-Cœur. Par millions, au front comme à l’arrière, civils et militaires, femmes et enfants portaient sur la poitrine la cocarde tricolore avec l’insigne du Sacré-Cœur selon la demande faite par Notre-Seigneur à sainte Marguerite-Marie le 17 juin 1689 et renouvelée en 1917 à sa jeune messagère Claire Ferchaud.
Celle-ci, le 1er janvier 1917 adressait au Président de la République, Raymond Poincaré, une lettre lui faisant part du message qui, sur l’ordre de Dieu, devait lui être transmis. Des détails intimes, connus seulement du Président accréditaient le caractère divin de l’avertissement.
Ce message peut se résumer en une double demande :
1) La conversion du Président de la République.
2) L’apposition du Sacré-Cœur sur le drapeau national.
Cette lettre fut remise au Président le 16 janvier 1917. En voici le texte :