« Quiconque contemplera, non pas seulement des yeux du corps, mais par la pensée, d’aussi grands exemples de force et de vertu, comment ne brûlerait-il pas du désir de les imiter ? Que la terre se montre à lui couverte de malédictions et ne produisant que des ronces et des épines ; que son âme soit accablée de peines et d’angoisses, son corps miné par les maladies ; il n’y aura pas de souffrance, qu’elle lui vienne de la malveillance des hommes ou de la fureur des démons, pas de calamité privée ou publique dont sa patience ne finisse par triompher »

(Léon XIII)